https://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/issue/feedécriture et image2025-12-24T03:28:27+00:00Hélène Campaignolle-Catelhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frOpen Journal Systemshttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/175Face aux écrits du monde : comment travaillent les épigraphistes ?2025-12-24T03:28:27+00:00Béatrice Fraenkelhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frEstelle Ingrand-Varennehelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p>à venir</p>2025-05-26T17:04:21+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/192Genèse d’une plaque gravée pour l’abbaye de Nieul-sur-l'Autise. Hommage à Franck Jalleau (1962-2025)2025-12-23T20:19:20+00:00Franck Jalleauhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frHélène Campaignolle (éd.)eva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p>La rubrique « entre-vues » du numéro 6 de la revue <em>écriture et image</em> est dédiée au graveur et concepteur de caractères Franck Jalleau décédé trop tôt au printemps de cette année. Ce numéro consacré à l’épigraphie est l’occasion de découvrir un des projets méconnus de cet artiste foisonnant : une pierre gravée portant un poème écrit par un moine en hommage au cloître de Nieul-sur-l'Autise, village natal du graveur. La conception de cette oeuvre lapidaire est retracée à l'aide de documents iconographiques transmis par les proches de l'artiste et de vidéos réalisées par un étudiant vidéaste pendant la conception. </p>2025-08-29T12:52:44+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/176Quand l’histoire s’écrit en marchant… Traquer les inscriptions grecques en Syrie du Sud2025-12-23T20:19:20+00:00Maurice Sartrehelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p style="font-weight: 400;">Chargé de publier les inscriptions grecques et latines de la Syrie du Sud, Maurice Sartre, en collaboration avec Annie Sartre-Fauriat depuis 1982, a exploré l’ensemble des sites antiques et des villages actuels des deux provinces du Sud du pays. Cette longue enquête, commencée en 1969 et interrompue par la révolte populaire de 2011, a permis de retrouver une partie des textes publiés depuis deux siècles mais surtout d’enrichir le corpus de plus de 1 000 textes nouveaux, illustrant tous les aspects de la vie de la région entre le i<sup>er</sup> et le vii<sup>e</sup> siècle. Cette documentation abondante est d’autant plus précieuse que la région est ignorée de la littérature antique et qu’elle provient à la fois des sites urbains principaux (<em>Bostra, Canatha, Philippopolis</em>) et de plus de 300 villages, voire de sites de campements de la steppe. L’aide constante de la population a beaucoup contribué à faire émerger cette densité exceptionnelle d’inscriptions antiques, y compris en milieu rural, fait presque unique dans l’Empire romain.</p>2025-05-26T17:12:24+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/182 Documenter et apprivoiser un paysage inscrit : récit d'une mission épigraphique en Chine 2025-12-23T20:19:20+00:00Lia Weihelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frFrancesca Berdineva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p style="font-weight: 400;">Cet article présente les enjeux d’une mission épigraphique en Chine menée par l’équipe du projet ANR Altergraphy(2023-2027). Les participants à la mission documentent une série d’inscriptions en milieu montagneux, gravées à même les falaises brutes, et attribuées à Zheng Daozhao, préfet local et poète taoïste du viᵉ siècle. Cette forme d’écriture particulière suscite une attention renouvelée envers la complexité du fait épigraphique.</p> <p style="font-weight: 400;">À travers diverses expériences de cartographie et de mises en récit, le projet cherche à intégrer l’héritage de la tradition lettrée chinoise. Cette dernière, constituée à partir du xᵉ siècle par un réseau de lettrés, d’érudits et de collectionneurs, a joué un rôle déterminant dans la transmission et la valorisation de ces « monuments » lithiques. Dans le sillage de ces pratiques, le cadre matériel et symbolique de production des paysages inscrits, ainsi que la dimension sociale de leur réception, s’enrichissent d'une dimension sensible.</p>2025-05-31T08:55:25+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/194Mémoire de berger et regard d’épigraphiste dans les montagnes d’Iran2025-12-23T20:19:20+00:00Olivia Rambleeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p style="font-weight: 400;">L’étude qui suit rend compte du vécu de terrain d’une épigraphiste au travail dans les montagnes d’Iran, sur la trace d’inscriptions d’époque sassanide. Elle souligne l’extrême difficulté de repérer les textes rupestres – même maintes fois publiés – dans l’immensité du paysage iranien et l’importance fondamentale des intermédiaires de travail. Trouver quelques lignes de texte gravées sur une pierre dans une vallée relève de l’impossible sans l’aide d’un guide local, et plus particulièrement d’un berger, habitué à arpenter la montagne avec ses troupeaux. Certaines inscriptions et sites clés offrent l’occasion d’une réflexion sur l’histoire de la recherche qui a conduit au déchiffrement de ces textes rupestres, et l’histoire des techniques qui ont été utilisées – et celles qui sont actuellement lesmieux adaptées – pour les documenter, permettant une mise en regard des vécus de terrain passés et présents. La vie houleuse et plusieurs fois millénaire des inscriptions moyen-perses ne s’arrête pas à leur publication papier. Le travail de terrain permet d’en entrevoir les dimensions multiples et les nombreux rebondissements.</p>2025-10-03T13:17:04+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/181L’estampage, document de travail emblématique de l’épigraphiste2025-12-23T20:19:20+00:00Michèle Brunethelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p class="StyleEcritureetimage">Depuis le début de l’épigraphie en tant que discipline académique, les épigraphistes antiquisants ont utilisé des estampages pour se constituer une documentation utilisable à distance des originaux et facile à manipuler. Ces empreintes moulées reproduisant fidèlement les caractéristiques de l’écriture sont l’instrument de travail indispensable pour établir des éditions critiques épigraphiques. L’article explore les aspects pratiques de la fabrication et de l’utilisation des estampages, explique les raisons de leur succès et montre comment les nouvelles technologies permettent de transposer dans l’univers numérique les méthodes de travail des épigraphistes en les perfectionnant, transformant ainsi cette documentation scientifique en un nouveau corpus de recherche exploitable pour de futures études.</p>2025-05-31T08:52:10+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/183Carnets et fiches de terrain : la construction du savoir en épigraphie médiévale2025-12-23T20:19:20+00:00Estelle Ingrand-Varennehelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frMaria Aimé Villanohelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p style="font-weight: 400;">Rencontre intellectuelle et expérience sensible, la mission de terrain est un moment crucial du travail de l’épigraphiste et le premier lieu de savoir de la discipline. Au cours de la mission, les experts produisent une documentation hétérogène. Cet article analyse deux supports de notation du savoir en épigraphie médiévale, à deux moments distincts : dans les années 1970, avec les carnets de la première équipe de médiévistes épigraphistes en France et dans les années 2020, avec les fiches de terrain d’une équipe internationale. Observer, localiser, déchiffrer, mesurer par soi-même l’artefact inscrit sont les diverses actions dont les résultats sont notés de manière libre ou codifiée sur ces supports. L’influence du numérique et du tournant matériel se lisent sur les fiches, tandis que les carnets insistent sur les interactions avec ceux qui conservent les inscriptions ; ces deux types d’écriture intermédiaire montrent chacune les marques de subjectivité et les intuitions scientifiques.</p>2025-05-31T08:59:43+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/179Numériser les hiéroglyphes : retour d’expérience en design typographique2025-12-23T20:19:21+00:00Pierre Fournierhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p style="font-weight: 400;">À travers la conception d’un caractère typographique pour la transcription des hiéroglyphes égyptiens, cet article propose d’observer la manière dont la représentation de l’inscription épigraphique participe à l’étude des pratiques scientifiques. L’écriture hiéroglyphique, figurative, s’accommode fort mal de la modélisation typographique et de sa nature profondément normative. Pourtant, dans les divergences et négociations qui apparaissent entre les différentes formes produites lors d’un projet de design, on observe les caractéristiques et transformations des regards égyptologiques. Cet article expose la saisie de cette vision dans l’émergence de la forme typographique. Le choix de références épigraphiques pour la stylisation de chaque hiéroglyphe, les gestes de design, les échanges avec les égyptologues confèrent au caractère ses qualités graphiques et épistémologiques, et forment autant d’indices quant à l’articulation entre fabrique des représentations et fabrique des regards.</p>2025-05-31T08:45:56+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/177Solange Ory et les utopies de l’épigraphie arabe en Méditerranée2025-12-23T20:19:21+00:00Fanny Rauwelhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p>Cet article vise à éclairer les conditions de diffusion des savoirs en épigraphie arabe, à travers l’exploitation du fonds d’archives inédites de Solange Ory. Cette enseignante-chercheuse contribua à documenter les inscriptions islamiques dans le monde arabe, et plus particulièrement en Syrie, des années 1960 à 2010. Le terrain méditerranéen constitua pour elle un laboratoire, par la richesse de son patrimoine, l’accessibilité des sites, et la possibilité de formation des étudiants. Pourtant, certains projets auxquels elle consacra plusieurs années de sa carrière n’aboutirent pas. Ses archives nous en fournissent deux exemples. Le premier, un musée épigraphique à Bosra, se heurta au conflit auquel la Syrie fut en proie à partir de 2011. Le second, un programme d’informatisation de l’épigraphie arabe, échoua à prendre le tournant numérique dans les années 2000. L’histoire de ces deux projets illustre la contingence historique, financière et technique de la production épigraphique.</p>2025-05-31T08:35:37+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/180On a marché sur la pierre de Rosette2025-12-23T20:19:21+00:00Béatrice Fraenkelhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p>en attente</p>2025-05-31T08:48:28+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/178Claire Bustarret, Béatrice Fraenkel, « L'apparition du document photographique en archéologie : les prémisses de son autorité »2025-12-23T20:19:21+00:00Claire Bustarrethelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frBéatrice Fraenkelhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frHélène Campaignolle (éd.)helene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<div>Le dossier d’archives du numéro 6 de la revue "écriture et image" propose de remettre en lumière un article de Claire Bustarret et Béatrice Fraenkel paru en 1985 (« L’apparition du document photographique en archéologie : les prémisses de son autorité ») analysant le rôle émergent au milieu du XIX<sup>e</sup> siècle de la photographie dans les relevés archéologiques. Le document proposé est enrichi de photographies d'époque ; il s'accompagne d'une annexe issue de la thèse de Claire Bustarret ("Parcours entre voir et lire : les albums photographiques de Voyage en Orient. 1850-1880), portant sur la mission du consul Victor Place à Ninive (1851-1856) enrichie de documents photographiques provenant des Archives nationales de France. </div> <div> <div> </div> </div>2025-08-29T12:36:55+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/188Qu’est-ce que l’épigraphie secondaire? Une visite dans la grotte des scribes avec Chloé Ragazzoli2025-12-23T20:19:21+00:00Chloé Ragazzolihelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frBéatrice Fraenkeleva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p>en attente</p>2025-06-13T17:30:12+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/193Face aux pierres : recueillir un corpus, faire œuvre d’histoire2025-12-23T20:19:21+00:00Nicolas Tranhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frBéatrice Fraenkeleva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frEstelle Ingrand-Varenneeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p>sans résumé</p>2025-09-08T07:04:26+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/187Genèse de l’épigraphie médiévale2025-12-23T20:19:21+00:00Robert Favreauhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frBéatrice Fraenkeleva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frEstelle Ingrand-Varenneeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p>en attente</p>2025-06-13T17:25:59+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/186Robert Favreau, Bible et épigraphie, Paris, CNRS Éditions, 2024, 402 p.2025-12-23T20:19:21+00:00Vincent Debiaiseva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr2025-06-02T04:50:38+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/185Delphine Gleizes et Axel Hohnsbein (dir.), Visages de l’objet imprimé. Les frontispices au XIXe siècle, Paris, SUP, coll. « Histoire de l’imprimé », 2024, 548 p.2025-12-23T20:19:21+00:00Jan Baetenseva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr2025-06-02T04:50:07+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/191Vincent Debiais et Morgane Uberti, Traversées. Limites, cheminements et créations en épigraphie, Pessac, Presses universitaires de Pau et des Pays de l’Adour, coll. « B@lades 3 », 2024, 310 p.2025-12-23T20:19:22+00:00Lisa Garciaeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr2025-08-01T06:04:27+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/196Gisèle Provost, Guy Krivopissko (préfacier) et Olivier Lalieu (préfacier), Mémoire gravée : Pierre Provost, Buchenwald 1944-1945, Carbonne, Loubatières, 2016, 143 p.2025-12-23T20:19:22+00:00Béatrice Fraenkeleva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr2025-12-23T13:13:37+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/184Quelques réflexions sur la recherche d’un langage commun en épigraphie numérique2025-12-23T20:19:22+00:00Estelle Ingrand-Varennehelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.frBruno Baudoineva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frRémi Bonnin-Guieteva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frMichèle Bruneteva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frAlberto Dalla Rosaeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frJulien Faguereva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frLéontine Fortineva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frAdeline Leviviereva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frEmma Martinezeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frEmmanuelle Morlockeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frBlandine Nouveleva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frNathalie Prévôteva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frVincent Razanajaoeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frColine Ruiz Darasseeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frStéphanie Satreeva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frNicolas Souchoneva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.frDamien Strzeleckieva.lassalle-joseph@sorbonne-nouvelle.fr<p style="font-weight: 400;">Parle-t-on le même langage au sein de la même discipline ? Que l’inscription soit égyptienne, grecque, romaine, gauloise, médiévale ou moderne, peut-elle être décrite selon une méthode analogue et avec un vocabulaire identique par les spécialistes de l’épigraphie ? Cet article met en avant une étape importante dans cette réflexion menée par un groupe d’épigraphie numérique au cours d’une semaine de travail à l’École française d’Athènes : la création d’un thésaurus proposant un vocabulaire commun aux différentes traditions épigraphiques. Il revient sur le choix des éléments essentiels pour décrire une inscription (écriture, texte, langue, matériau, support, fabrication), leur hiérarchisation, la confrontation des différentes pratiques, l’interrogation sur des termes hérités. L’enjeu est, par le biais du numérique, de penser une épigraphie « générale », dépassant les barrières érigées par chaque période historique.</p>2025-05-31T09:03:20+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/190Les contributeurs·trices2025-12-23T20:19:22+00:00La rédactionhelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr<p>en attente</p>2025-06-13T17:39:11+00:00Copyright (c) 2025 écriture et imagehttps://ecriture-et-image.fr/index.php/ecriture-image/article/view/189Epigraphistes au travail2025-12-23T20:19:22+00:00Télécharger le numérohelene.campaignolle-catel@sorbonne-nouvelle.fr2025-06-13T17:36:27+00:00Copyright (c) 2025 écriture et image